Après de longs mois de chômage, Damien, mon copain, avait enfin trouvé un emploi sous-payé, mais il était ravi de travailler. Son patron, très aimable, nous prêta sa maison de campagne en Normandie pour une semaine de vacances en échange de quelques tâches simples : tailler les haies, arroser les arbres et entretenir la piscine. En arrivant, nous découvrîmes un magnifique manoir rénové. Les vacances s’annonçaient idylliques, même si nous ne pouvions pas utiliser l’ancien garage, qui était condamné.

Le premier matin, le téléphone sonna à 9h30, mais nous n’avons pas répondu. Après avoir accompli nos tâches, nous avons profité du soleil et des fruits du verger. La maison, isolée en pleine campagne, nous offrait une tranquillité parfaite. Nous avons passé l’après-midi à explorer la maison, entre moments intimes et détente au bord de la piscine.

Le deuxième matin, le téléphone sonna de nouveau à 9h30. Réveillés par la sonnerie, nous avons envisagé que c’était peut-être le patron de Damien. Sans réseau mobile ni télévision, nos journées étaient rythmées par les appels matinaux et nos ébats amoureux.

Les jours suivants, la routine était la même : réveil à 9h30 par la sonnerie, puis nous faisions l’amour. Cette routine commençait à me lasser.

Un jour, Damien décida de tondre la pelouse. Ne trouvant pas la tondeuse dans la maison, il força l’entrée du garage condamné. À notre grande surprise, nous découvrîmes à l’intérieur un équipement professionnel de vidéosurveillance : trois écrans d’ordinateurs allumés, un serveur en marche, et un clavier avec des retours caméras. Sur une douzaine de petits écrans, toutes les pièces de la maison étaient visibles en vidéo, comme dans une cabine de surveillance d’un magasin.

Nous avons vite compris ce que le patron de Damien avait vu. Le matériel était-il installé pour la sécurité ou dans un autre but ? Les tiroirs révélaient la vérité : des magazines de charme et des DVD aux titres explicites. Tous les films commençaient à 9h30, l'heure des appels, pour déclencher les enregistrements.

Damien referma soigneusement le garage. Nous décidâmes de jouer le jeu. Je me déshabillai et m'allongeai nue sur le canapé, tandis que Damien me léchait. L'idée du patron regardant ces vidéos nous excitait. Je pris ensuite Damien en bouche, imaginant le plaisir voyeur du patron.

D’ailleurs, je lui dis :

  • Je suis ta pute ! Criai-je fort en direction de la caméra. Puis je demandai à Damien :
  • Parle-moi de ton patron… Il est comment ?
  • Grand… gras… vieux…, répondit-il sans enthousiasme.

Je me levai, posai une jambe sur le canapé, et Damien, tout en me pénétrant, ajouta :

  • Mais sa femme est chaude…
  • Elle t’excite ?
  • Elle s’appelle May, grande, blonde, maigre, avec des fesses rebondies. J’adore ses fesses et je suis sûr qu’elle suce bien.
  • Elle s’appelle May, grande, blonde, maigre, avec des fesses rebondies. J’adore ses fesses et je suis sûr qu’elle suce bien.
  • Que ferais-tu à ses fesses ?
  • Je les boufferais !
  • Tu boufferais le cul de la femme de ton patron ? dis-je plus fort.
  • Oui, cette salope ! Et après, je l’obligerais à te lécher.
  • Elle ou lui ?
  • Les deux !
  • Imagine la scène, décris-la comme si elle était réelle !
  • Leurs langues se mélangent autour de ton petit clitoris. Si tu n’as pas encore joui, j’encule sa femme à quatre pattes jusqu’à jouir, puis je la force à nettoyer ma queue avec sa langue pour me faire rebander. Et quand je rebanderai, elle me sucera encore avec sa bouche à pipes.
  • Et moi, je fais quoi pendant ce temps ?
  • Pendant ce temps, mon patron te masse les épaules pendant que tu lui suces les couilles. Je sais que t’aimes ça…
  • Ah ouais, comment sont ses couilles ?
  • Des couilles de vieux. Il pue des couilles. Et il a des poils collés. Mais toi, t’adores ça, et tu bouffes tout, tu ne laisses rien pour sa femme. De toute façon, la pauvre, elle n’a plus faim avec tout ce que je lui ai mis.
  • Oh ! J’adore… est-ce qu’il jouit dans ma bouche ?
  • Non, il jouit sur ton visage, t’en as plein partout, sur les cheveux, le nez, les yeux…

Je tremblais de plaisir en l’écoutant, imaginant son patron regarder cette vidéo, choqué et excité. Puis je continuai :

  • Mais sa femme est chaude…
  • Et là, May vient me nettoyer le visage avec sa langue, c’est ça ?
  • Ouais, elle te lèche la figure, nettoie tout le sperme de son mari, et comme sa langue court sur ton visage, tu sors la tienne et vous vous galochez.
  • Ah… Ah, t’es con, tu vas me faire jouir… Comment il s’appelle, ton patron ?
  • François.
  • Aaaah, François !

J'avais atteint un orgasme phénoménal, tremblant sur ce qui restait du canapé : un vieux plaid grisâtre. Quand Damien se retira, du sperme coula sur le sol en marbre. La maison, comme ce canapé recouvert d'un plaid, était en toc. Une fois la déco retirée, il ne restait qu'une vieille ferme désaffectée avec un garage d’obsédé.

Les jours suivants, nous n’avons pas taillé les haies ni nettoyé la piscine. Nous avons dîné aux chandelles, bronzées, nagé et parlé. À la fin du séjour, nous avons croisé François et May. Damien leur a remis les clés, et François m’a fait un clin d’œil en souriant.

  • Au fait, nous avons décroché le téléphone, car il sonnait sans arrêt à 9 heures 30 et ça nous réveillait. On avait grand besoin de repos.

Dans la voiture, j’ai demandé à Damien :

  • À ton avis, tu vas être viré ?

Damien, du menton, m’a désigné son sac. Je l’ai ouvert et en ai sorti une douzaine de DVD gravés.

  • À mon avis, non…

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